#catalogne française
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les-cris-des-fendues · 10 months ago
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Je me suis baladée toute la matinée avec Fenris dans un bouillonnement de sève, d'ardeur, de bleu, de vert et de soleil. Lui il récoltait ses tiques et puces amassées à l'entrée du terrier des renards ou bien fourrées dans les hautes herbes et moi je prenais des photos, dont quelques-unes qui se sont faites toutes seules d'ailleurs comme celle d'en haut. On est bien là, Fenris et moi... Cet endroit nous rend fous de bonheur, à courir partout, à grimper tous les rochers, à s'extasier devant la beauté, la seule qui ne fait pas de manière, à siffler les rapaces pour les faire venir; tiens ce matin, un grand corbeau solitaire suivi de près par un milan royal (lui aussi tout seul, étrange d'ailleurs, ils volent souvent en couple ceux-ci mais peut être qu'il était en chasse pour nourrir la femelle qui couvait) ont rappliqué illico presto, à croquer les fleurs comestibles pour moi, ou le chiendent pour Fenris, à ramasser de tout et n'importe quoi, des cailloux, des bouts de bois, des graines... J'aime le printemps, ici, en Catalogne française. D'ici à un mois, toutes les fleurs auront explosé du rire de leurs couleurs, le muscari, le lin vivace, l'asphodèle, la fleur de bruyère , la lavande vraie ou officinale, celle endémique de la garrigue, l'immortelle, la ciste (ma chouchou), le laurier Tin, la santoline, les orchis et les deux stars que sont le thym et le romarin. J'en oublie bien sûr, pardonnez-moi, mes demoiselles... Tout cela, cette beauté, cette joie qui nous vient, à Fenris et moi, ce calme, ce bien-être sans pareil, ce bain d'arômes, de senteurs, d’effluves, d'images, de vibrations j'aime beaucoup le partager ici avec vous. En toute simplicité.
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Pierre de Corail fossile. Nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude et pourtant ici avant, il y a des millénaires en arrière, c'était la mer...
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claudehenrion · 11 months ago
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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freelance-informatique · 5 months ago
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Ousmane Dembélé : Son transfert s’élève à 50 millions d'euros
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L'été dernier, le Paris Saint-Germain (PSG) a frappé un grand coup en attirant Ousmane Dembélé dans ses rangs. Après plusieurs années au FC Barcelone, l'ailier français a décidé de rejoindre la capitale française, ce qui marque la fin d'un chapitre complexe en Catalogne. Grâce à une clause avantageuse, le PSG a su tirer parti de la situation pour s'offrir les services du joueur à un prix bien inférieur à ce que Barcelone avait payé pour l'attirer. Retour sur un transfert qui fait parler. Un transfert à 50 millions d'euros pour Ousmane Dembélé Le PSG a réussi à recruter Ousmane Dembélé en activant une clause dans son contrat avec le FC Barcelone. Cette clause libératoire, activée à un moment stratégique, a permis au club parisien de ne débourser que 50 millions d'euros pour s'attacher les services de l'ailier. Une somme qui, bien qu'élevée, reste loin de ce que Barcelone avait payé pour le joueur. En 2017, le FC Barcelone avait en effet dépensé 105 millions d'euros pour recruter Ousmane Dembélé en provenance du Borussia Dortmund. À l'époque, ce transfert était censé combler le départ de Neymar, parti au PSG pour un montant record de 222 millions d'euros. Mais l'histoire n'a pas pris la tournure espérée du côté de Barcelone. Lire aussi : Moussa Dembélé bientôt à Manchester United ? Une facture totale de 148 millions d'euros pour le Barça Si le montant initial du transfert de Ousmane Dembélé en 2017 s'élevait à 105 millions d'euros, le coût réel pour le FC Barcelone s'est révélé bien plus élevé. Des bonus liés aux performances du joueur et des primes supplémentaires ont été ajoutés au fil des années. Selon le journal allemand Bild, la facture totale aurait finalement atteint 148 millions d'euros, un montant colossal pour un joueur qui n'a pas réussi à s'imposer comme une star indiscutable au sein du club catalan. Ce dépassement budgétaire a pesé lourd sur les finances du Barça, qui a déjà connu des difficultés financières ces dernières années. Ce transfert est désormais perçu comme un échec financier majeur pour le club, qui espérait davantage de la part de Ousmane Dembélé en termes de régularité et de contribution sur le terrain. Un investissement qui n'a pas porté ses fruits pour Barcelone Le FC Barcelone, en investissant autant d'argent sur Ousmane Dembélé, s'attendait à ce que le jeune joueur devienne un pilier de son attaque. Les blessures récurrentes et une adaptation parfois difficile ont limité ses apparitions et son influence sur le jeu. Malgré des éclairs de génie et des moments de grande classe, Ousmane Dembélé n'a jamais réussi à enchaîner les performances au plus haut niveau de façon constante. Le transfert de l'international français est ainsi devenu un symbole des difficultés récentes du FC Barcelone sur le marché des transferts, avec des investissements coûteux qui ne se sont pas toujours révélés fructueux. En plus de Ousmane Dembélé, d'autres joueurs achetés à prix d'or n'ont pas réussi à répondre aux attentes, ce qui a contribué à fragiliser encore davantage les finances du club. Le PSG espère relancer la carrière de Ousmane Dembélé En rejoignant le PSG, Ousmane Dembélé a l'opportunité de redémarrer sa carrière dans un environnement plus familier. Retourner en France et évoluer sous les ordres de Luis Enrique, un entraîneur qui le connaît bien, pourrait lui permettre de retrouver confiance et régularité. Le club parisien, qui vise de grands objectifs, mise sur le talent de l'ailier pour apporter de la créativité et de la vitesse à son attaque. Pour le PSG, ce transfert représente également une bonne affaire financière. En recrutant Ousmane Dembélé à un prix raisonnable, le club minimise les risques tout en s'offrant un joueur capable de faire la différence sur le terrain. Reste à savoir si l'ailier français saura répondre aux attentes cette fois-ci et s'imposer dans un effectif où la concurrence est rude. Voir également : Ousmane Dembélé : Manchester United guette son départ du PSG Un transfert qui marque un tournant pour Ousmane Dembélé et le Barça Le départ d'Ousmane Dembélé pour le PSG symbolise une nouvelle étape dans la carrière du joueur, mais aussi un tournant dans la gestion des transferts du FC Barcelone. Alors que le PSG a su tirer parti d'une clause avantageuse pour conclure une transaction à 50 millions d'euros, Barcelone se retrouve à devoir assumer un échec financier. Pour Ousmane Dembélé, c'est l'occasion de se relancer dans un projet ambitieux. Quant à Barcelone, ce transfert restera sans doute comme un épisode douloureux dans son histoire récente. Read the full article
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refaudit · 5 months ago
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PRESENTATION
Je viens de Catalogne, Espagne. Pardonnez mon français du traducteur. Je peux le lire mais pas l'écrire.  Je possède une carabine Giffard 4,5, magnifique arme française ancienne. Je suis venu ici pour chercher des informations. Pour savoir comment je l'ai restauré, vous pouvez voir mon blog: https://armeriaeolica.blogspot.com/2013/06/giffard-carbona-calibre-45.html http://dlvr.it/TBwKjz
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wumingfoundation · 9 months ago
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Des nouvelles de France, du Mexique, de Catalogne et à nouveau de France : L’invisible partout et Ufo 78, ou plutôt Ovni 78, comme il se doit !
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Aujourd’hui paraît chez Métailié L’invisible partout, l’édition française de notre L’invisibile ovunque (2015), traduit par Serge Quadruppani.
Pour notre roman-en-quatre-nouvelles, que nous avons consacré au centenaire de la Grande Guerre, c’est la troisième traduction. En 2017, il a été publié en catalan par les éditions Godall, sous le titre L’invisible arreu, traduit par Oriol Fuster Cabrera. Il y a quelques mois, l’édition mexicaine – distribuée dans la majeure partie de l’Amérique hispanophone – Lo invisible en todas partes, est sortie pour les types FCE, dans la traduction de Federico Mastrogiovanni. Ce dernier, en compagnie du journaliste Andrés Ruiz, parle du livre dans cet épisode du podcast “La autentica banda librera”. Au cours des deux dernières années, le FCE a publié deux autres livres de notre atelier, Stella del mattino et Altai.
Toujours en France, le 17 mai prochain les éditions Libertalia publieront Ovni 78, l’édition transalpine de notre Ufo 78 (2022), également traduit par Serge Quadruppani.
Entre-temps, l’édition catalane est sortie, publiée par Manifest et également intitulée Ovni 78. Traduction de Pau Vidal.
Le changement de titre n’est pas surprenant : l’Italie est le seul pays de langue néo-latine dans lequel – bien qu’on utilise l’expression oggetto volante non identificato, qui donnerait l’acronyme OVNI – on adopte l’acronyme anglais UFO.
Ces nouvelles éditions d’Ufo 78 s’ajoutent à celles déjà publiées, c’est-à-dire l’édition allemande, publiée par Assoziation A, et l’édition grecque, publiée par Οι Εκδόσεις των Συναδέλφων. Les deux maisons d’édition ont maintenant plusieurs de nos titres dans leur catalogue : Assoziation A en a publié sept, Οι Εκδόσεις των Συναδέλφων cinq.
Nous profitons de l’occasion pour annoncer bien à l’avance qu’à la fin de l’été, nous présenterons Ufo 78 à l’Internationales Literaturfestival de Berlin, qui aura lieu du 5 au 14 septembre. Les détails suivront. Bonnes lectures.
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presslakay · 9 months ago
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Football-LDC | Le PSG renverse la situation à Barcelone et file en demi-finale
Battu à l’aller à domicile, le Paris Saint-Germain a renversé la situation, à Catalogne, ce mardi, face à un FC Barcelone réduit à dix avant l’heure de jeu. Avec cette victoire, le club de la capitale française file en demi-finale de la Ligue des Champions. Le miracle a eu lieu, ce mardi, pour les poulains de Luis Henrique à Catalogne, et les Catalans ne s’y attendaient pas certainement. En…
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erniewhite · 2 years ago
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LA CATALOGNE (en catalan Catalunya; en occitan Catalonha) est une nacionalité du nord-est de la Péninsule Ibèrique. Sa capital et métropole est la ville de Barcelone. Elle est entourée par la Royaume de València (au sud), l'Aragon (a l'ouest), la France (nord Catalogne; au nord), l'Andorre (au nord ouest), et la mer Méditerranée (a l'est). Una partie de ses terres fait donc frontière avec la Repúblique Française. Elle couvre une superfície de 31.950 km2 et, en 2021, comptait 7.508.106 habitants. Ses langues officielles sont le catalan, l'occitan (en Val d'Aran) et le castillan. Après douze ans, à faire partie de l'Assamblée Parlemantaire de la Francophonie (APF) en tant que membre observateur, le Parlament de la Catalogne a changée de statut (26 janvier 2021). Desormais la Chambre des Parlamentàries catalans devien membre associés de cette organisation internacionals et obtien un droit de vote los de les délibérations. APF travaille activament a la promotion de la democràtie et de l'Estat de droit dans l'éspace francophone. L'ancién president independentiste (Roger Torrent) a profit de la réunion télématique de la Comission Polítiques de l'AFP pour denoncer -segon lui- la répresion polítique en Catalogne et réiteré son engagement en faveur de l'autodétermination et le referèndum comme moyen de resoldre le conflit polítiques Catalogne/État espagnol. La Catalogne est également la plus peuplée parmi les País Catalans, un ensemble culturel et lingüístiques que la lie avec la communotée Valencienne, les îles Baléares, la Principat d'Andorre, l'Alguer en Sardaigne, et la "franja" aragoneses et à l'essencial du départament français des Pyrénées Orientales. La Catalogne est née en tant que réalité nacional par la réunion polítique de plusieurs comtes de l'ancien Marche Ibèrique Carolingienne sus l'autorité de la Maison de Barcelone. La Principaute de Catalogne ainsi constituée devient progressivament un État a la fin du Moyen Âge, avec ses institucions comme les "Corts", sont droit hérité du droit romain, wisighotique et feudal et compilé dans les "Usatges", ou encore sa langue, le catalan, qui se constitue en langue administrative juridique et littéraire a partir du XII siécle. Par le system e politique de monarchie pactiste, la Catalogne conserve ses spécificités et privilèges institutionnels, coutumiers et jurisdictionnels, appelés "Constitutions et d'Autres Droits" au sein de la Couronne d'Aragon (puis du royaume de l'Espagne), jusqu'aux decrets de "Nueva Planta" (1715) qui, après une longue guerre et la conquête de Barcelone par les armes franco-castillanes, abolissent toutes les institutions catalanes. Après le mouvement de renouveau de la langue et de la culture catalane (interdite par la nationalisme espagnol le plus sauvage), le "catalanisme" se structure idéologiquement a la fin du XIXe siécle, tandis que la Catalogne est l'une des rares regions peninsulaires Ibèriques a connâitre alors une importante révolution industrielle. De même, le mouvement artístiques du modernisme témoigne de l'ouverture sur l'Europe de la nation catalane ainsi que du nouveau rayonnement culturel que connaît ce territoire. La Catalogne fait partie depuis 1988 des "Quatre Moteurs" pour l'Europe avec Baden-Wurtemberg, Lombardie et Auverge-Rhône-Alpes.
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omagazineparis · 2 years ago
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Costa Brava et Costa Dorada : osez le camping en Espagne
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Vous êtes adeptes du camping et avez sillonné les côtes françaises. Ce mode d'hébergement existe aussi chez nos voisins européens dont l'Espagne. Ce grand pays hispanique dispose d'incroyables atouts. La Costa Brava et la Costa Dorada correspondent parfaitement aux avantages d'un été en mobil-home. Faites le plein de chaleur, de farniente, de culture et de divertissements pour toute la famille ! Le Camping en Espagne : La Costa Brava et la Costa Dorada on tant à vous offrir Nous vous proposons de vous reposer sur les plages espagnoles. Alliez prix attractifs et paysages de rêves en optant pour le camping en Espagne sur www.homair.com. Etant un grand pays, on vous propose d'explorer ses plages avec la Costa Brava et la Costa Dorada. La Costa Brava est réputée en Espagne pour ses villages pittoresques, ses plages magnifiques ainsi que ses criques. Pals, village médiéval a su garder son authenticité. Ses traditions et sa gastronomie y sont très appréciées. Echappez-vous des sentiers battus, vous y verrez rizière et plage préservée. Fan de Salvador Dali, venez à Cadaquès, qui l'a tant inspiré. Village blanc aux ambiances bohème et festives. Vous aimerez vous perdre dans le dédale des rues pavées. Un laisser-aller idéal pour admirer son architecture. Des coins de baignades cachés aux eaux cristallines et vues panoramiques. La Costa Brava est idéal pour tester le camping dans les nombreux villages pittoresques. Moins connue, la Costa Dorada est au Sud de la Catalogne. Cette côte espagnole offre la possibilité de découvrir Tarragone, classée à l'UNESCO pour son site archéologique romain. Amoureux de l'art, suivez la Route du Paysage des Génies. Un itinéraire conçu pour découvrir les lieux d'inspirations de Picasso, de Gaudi, de Miro... C'est le coin parfait pour camper en Espagne. Vous pourrez aussi vous détendre sur les belles plages, pratiquer des sports nautiques. La Costa Dorada dispose aussi de parcs et de réserves naturelles où il est agréable de randonner. Costa Brava ou Costa Dorada ? Sur laquelle de ces 2 côtes espagnoles allez-vous choisir le camping Homair qui vous convient ? Les avantages de choisir les campings Homair en Espagne Il existe une multitude de campings, avec des budgets adaptés à chacun. Les campings Homair proposent des mobil-homes de 3 à 5 étoiles, ces petites maisons fixes au sein des campings. En Espagne, vous dormirez au bord de la Méditerranée sans le bling-bling de la Côte-D'Azur. Il y a de multiples activités pour tout âge. Vous y apprécierez les conseils des équipes pour vous détendre au maximum. Sports, parc d'attractions, farniente, baignades, visites culturelles : tout est possible. Les campings Homair conférent sécurité et tranquillité. Ils sont conçus pour que les activités n'empiètent pas sur votre quiétude. La circulation des voitures est limitée à une certaine heure à l'entrée du camping. D'ailleurs, des vigiles veillent à l'afflux de passages. Ce mode d'hébergement offre de multiples avantages. C'est aussi l'occasion parfaite pour visiter Barcelone et sa belle Sagrada Familia. Les atouts combinés de l'Espagne à ceux du camping en feront des vacances parfaites ! Read the full article
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basilepesso · 6 years ago
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Article d’Equinox Magazine : “La télévision publique française lance une émission hebdomadaire en catalan“ (Aussi sur mon Fb, 20/09/2 018)
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infopresse · 4 years ago
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Un Avignonnais de 41 ans arrêté 14 mois plus tard pour blanchiment
Un Avignonnais de 41 ans arrêté 14 mois plus tard pour blanchiment
En janvier 2020, au sein de la Catalogne française, les douanes avaient interpellé un Avignonnais de 41 ans, qui dissimulait dans sa voiture à grosse cylindrée la somme de 325 000 € en liquide, ainsi que 10 000 dirhams, soit l’équivalent…Un Avignonnais de 41 ans arrêté 14 mois plus tard pour blanchiment
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les-cris-des-fendues · 10 months ago
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Ph. la et de la bouquiniste
Quand tu trouveras
ce cœur fort comme pierre
c'est qu'amour dure...
*
Il est enfanté
au cœur du roc calcaire
roule dans mes doigts
*
Et crissant de joie
il rejoindra les autres
sur l'étagère
Delphine la bouquiniste (Haïkus)
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claudehenrion · 1 year ago
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Histoire d'un ratage collectif – Tome II.
Nous décrivions hier les méfaits qu'entraîne la vision déraisonnable d'une Europe qui a perdu tout contact avec toute réalité. Mais le désespoir des paysans et les promesses vides faites pour qu'ils rentrent chez eux ne sauraient entamer les dogmes intouchables d'un néo-credo européo-centré. On sait qu'une idéologie qui a trouvé un point d'appui où s'exercer fait croire à ses thuriféraires que ''Lorsque la réalité et le dogme entrent en conflit, c'est obligatoirement le dogme qui a raison''.
Résultat : les fausses lumières, toutes éteintes, qui nous conduisent (en enfer) ne nous parlent que de transformer le temps qu'il fait, le climat, les nuages, la neige et la pluie, la sécheresse et la canicule... et, depuis peu, la vie, la mort, la morale et la procréation... alors qu'ils sont strictement incapables de ralentir la violence, les coups, les vols, le prix du kilowatt, le stationnement des voitures en ville, l'obéissance des enfants, le nombre d'obèses, la natalité, ou une simple rage de dents. Mais là où tout se complique encore plus, c'est que cet abîme entre leurs non-solutions et nos vraies difficultés s'accroît chaque jour et que les problèmes auxquels ils tournent le dos se multiplient devant nous, comme un défi permanent à leur impuissance totale... Alors... voyons ce qu'il en est, si vous le voulez bien.
Pour ne pas compliquer ma tache de compilation et de mise en pages –donc votre facilité à lire ces idées sans trop vous forcer-- je vous propose de ne prendre des exemples de notre déconfiture actuelle que dans les événements qui forment notre actualité, notre quotidien. Il ne fait de doute pour personne que le passé proche élargirait notre ''chasse à l'absurdité'', mais la compréhension risquerait de ne pas gagner ce que le nombre de cas apporterait... Or, que nous racontent les Unes de nos ''organes de Presse'', ces jours-ci ?
''Démographie : les leviers pour tenter d'enrayer la chute''. Ce titre est une idée forte dans le débat. Aussi forte, faut-il préciser, que les solutions proposées sont ''faibles à nulles'', comme les précipitations en Catalogne (française et espagnole, d'ailleurs : exactement comme pour la révolte des paysans, tout le monde est logé à la même enseigne... ce qui n'arrange rien, pour personne). Nous en avons souvent parlé dans ce Blog, depuis les lois scélérates sorties en 2014 des esprits enfumés des lamentables hollandistes, mais c'est un de ces sujets dont on ne parle jamais assez : il fait partie de ces décisions absurdes qui ne sont jamais ''rapportées'' alors que leur c'est leur seule existence qui EST le scandale. Ce drame –comme prévu et annoncé-- se repose tout-à-coup, avec une virulence inattendue : l'urgence est grande, c'est le temps du ''sauve qui peut''...
Que voulez-vous, c'est la faute, disent-ils, à ''pas de bol'' : l'Europe, dans sa grande sagesse woke et mortifère a décidé que l'homme blanc, responsable de tous les faits et méfaits connus et à venir, devait disparaître. Ne pas partager cette idée et ses conséquences, c'est être raciste et ''n'importe quoi-o-phobe''. Alors, c'est simple, pour ces irresponsables : ''plus d'enfants = importation de main d’œuvre, = immigrés par millions, incontrôlés = mondialisation en marche''... le tout aux frais –bien sûr-- de ceux qui sont responsables de leur envie de migrer, les blancs(et les soixante et tant d'années d'indépendance sont comptées pour rien. De quel mépris est capable la Gauche ! Qui est ''raciste'' ? Je vous laisse répondre).
Ce péril absolu éclatant aux yeux du monde, que faire ? Surtout ne pas annuler les sales lois et décrets de hollande, seul responsable de cet effondrement : cela pourrait faire disparaître le programme en cours, si savamment construit... Mais pour montrer qu'on est actif, et jeune, et progressiste, et moderne, et… qu'on ne reste pas avec les deux pieds dans le même sabot, on va créer une nième commission Théodule qui va réfléchir (?) à un truc bien abstrait : ''la fertilité''. Comme ça, on pourra librement continuer à finir le sale boulot du ''grand remplacement'', après avoir interdit l'usage du mot... au nom de la Liberté de pensée et de parole...
Autre sujet, même moralité ? Je brûle de vous parler des errements ahurissants sur et autour du climat : ce seul mot est devenu le ''cache-misère'' des plus grands scandales, hold-ups et tissus de mensonge du siècle... (en attendant tous ceux qui ne manqueront pas de nous tomber sur le paletot, seule chose dont on puisse être certain). Mon Dieu ! (NB : je ne vois plus que lui, comme ultime chance de nous sauver de cette catastrophe si bien lancée sur ses rails, droit vers un mur devenu incontournable à force de mensonges et d'erreurs). Que n'a-t-on entendu comme absurdités, dès qu'il s'agit du climat ! C'est simple : l'inquiétude de ceux qui ont cru à ces fariboles leur a foutu une telle trouille qu'ils ont, criminellement, réussi à la transmettre à leurs enfants auxquels ils ont, ce faisant, ''volé leur enfance'' en quelque sorte. Et ça, c'est LE crime absolu.
Il existe pourtant une règle simplissime pour gérer les comportements erratiques : ''Quand tu n'as pas la main –et que tu ne peux donc absolument rien faire pour influencer les choses--, il ne sert à rien de te mettre la rate au court-bouillon : tu dormiras mal, mais ce sera la seul résultat''. La grande Histoire du monde déborde littéralement de périodes passant du chaud au froid, du carrément caillant au étouffant-à-plein-temps, du plus tiède au moins tiède... sans que la responsabilité de l'homme puisse être engagée. Et on constate que la totalité des mesures qu'on nous force à prendre ne servent rigoureusement à rien ! Plus on ''se tringle'' et plus tout va mal...
La déconnexion entre la cause et les effets ou entre le non-diagnostic et tous les non-remèdes proposés ne peut plus faire de doute, et ce qui se passe en ce moment-même en constitue une preuve convaincante : jamais autant d'interdictions, de normes, de condamnations, de ''cops'' (28 à ce jour, en attendant mieux), d'anathèmes, de blâmes blêmes, d'excommunications et, pour tout dire, de pseudo-''transitions'' qui ne peuvent mener à rien qu'à jeter par les fenêtres des sous que nous n'avons plus... n'ont été inventés. Moyennant quoi... nos hivers ressemblent de plus en plus à des étés, nos étés à des canicules, nos automnes à des printemps et nos printemps à ce qu'étaient nos étés... Croyez-vous que nos grosses têtes vides en ont tiré la moindre leçon ? Vous voulez rire !
C'est exactement le contraire : plus ils se fourrent le doigt dans l’œil, plus ils persistent et signent... et c'est partout la même sérénade.  Un dernier exemple, pour aujourd'hui ? Parce que tu crois avoir travaillé dans une banque quelques semaines, tu écoutes les gens intelligents et tu supprimes le criminel ''ISF'', le concept socialiste le plus contre-productif de l'histoire de l'économie... Mais comme tu as fait l'ENA, tu te sens des pulsions gauchières permanentes, et tu maintiens l'IFI, qui est exactement ''aussi pire''. Résultat : un peu plus tard (car la bête a de la ressource et se débat) tu réalises que, comme te l'avaient écrit dix fois les moins endoctrinés de tes ''sujets'' et quelques blogueurs qui essaient de penser, tu as réussi à foutre en l'air le secteur du bâtiment et avec lui le vaste secteur de la construction... pour (plutôt : contre) qui tu viens de voter une loi pour faciliter la naturalisation de centaines de milliers de ''migrants-envahisseurs'' qui pourront ainsi travailler (?) dans un secteur qui n'est plus en tension par ta faute... Bravo, l'artiste !
Gribouille n'aurait pas fait mieux ! Finalement, c'est peut-être ça, le bon diagnostic : nous sommes dirigés par une bande de gribouilles... et en plus, ils sont immatures ! Pauvres de nous !
H-Cl.
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theoppositeofadults · 5 years ago
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j’étais censée partir avec mes parents en Catalogne dans 10 jours et ils avaient dit à ma soeur qu’elle pouvait avoir la maison si elle voulait inviter des amis or whatever 
elle avait donc fait des plans avec ses amis et je me préparais avec impatience à retrouver mon village et surtout mes canards à qui j’ai promis l’été dernier que je reviendrais vite. 
sauf qu’au vu de la situation sanitaire en Catalogne, mes parents sont très clairement refroidis et sont près à rester en France pour leurs vacances
mais j’ai décrété qu’il était hors de question que j’aille 10 jours dans la campagne française, même s’ils louaient une maison avec piscine or whatever, et ma soeur commence à voir que je risque de crasher ses plans. 
je me demande qui est la plus en rogne (je pense que c’est moi car je ne vais pas voir mes canards)
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freelance-informatique · 1 year ago
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Neymar : Chelsea refuse, Xavi catégorique, son père calme le jeu !
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L'avenir reste incertain entre Neymar et le PSG, le Brésilien rêve d'un retour au FC Barcelone, mais les choses ne sont pas aussi simple, on vous dit tout ! Le Souhait de Neymar : Retour au Berceau Catalan Le feuilleton Neymar continue de faire la une des journaux sportifs. La star brésilienne, actuellement sous contrat avec lePSG jusqu'en 2027, exprime désormais son désir de quitter la capitale française. Et pas n'importe où : son cœur penche vers un retour au FC Barcelone, là où il a connu tant de succès. Mais le chemin vers la Catalogne est semé d'embûches. Les Défis du Transfert : Contrat et Salaire, des Obstacles de Taille Neymar n'est pas un joueur ordinaire, et son transfert ne sera pas une affaire ordinaire non plus. Son salaire colossal et son contrat à long terme avec le PSG posent des défis majeurs pour tout club désireux de l'acquérir. Le Barça, malgré son intérêt, se trouve dans une situation financière délicate, et la direction du club est divisée sur la question du retour de Neymar. Lire aussi : - Neymar veut partir et Luis Enrique n'y changera rien Xavi Hernandez Opposé au Retour de Neymar au Barça L'entraîneur du FC Barcelone, Xavi Hernandez, est l'une des voix discordantes au sein du club catalan. Son opposition à l'idée du retour de Neymar ajoute une couche de complexité à une situation déjà compliquée. Le débat interne au Barça pourrait bien être un obstacle insurmontable. Bien que le Barça soit la destination préférée de Neymar, d'autres options sont sur la table. La Premier League, l'Arabie saoudite, et même un retour à Santos ont été évoqués. Pourtant, Neymar a clairement indiqué sa préférence pour rester en Europe. Concessions et Négociations : Neymar Prêt à Jouer le jeu Neymar n'est pas étranger aux négociations difficiles, et il semble prêt à faire des concessions pour faciliter son retour au Barça. Une réduction de salaire ou un prêt sont des options envisagées. Le père de Neymar a démenti les rumeurs de départ, mais RMC Sport confirme que le PSG et Neymar étudient sérieusement un départ. Voir aussi : - Al-Hilal propose un salaire hallucinant pour attirer Neymar ! Neymar au PSG : Une Situation Complexe et Loin d'Être Résolue La situation reste tendue et incertaine. Entre le salaire de Neymar, les opinions divergentes concernant son transfert et les obstacles contractuels, le feuilleton est loin d'être terminé. Le PSG et Neymar sont dans une impasse, et le monde du football attend avec impatience de voir comment cette histoire se déroulera. ________ Passionné de ballon rond ? Retrouvez l'actu foot sur notre page Twitter et sur notre page Facebook ! Read the full article
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vagabondageautourdesoi · 5 years ago
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(via Catalogne 2019) #Catalogne  le jour de #SantJordi française #Voyage au pays de @Dali_ + ici  https://vagabondageautourdesoi.com/voyages/catalogne-2019/ 
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cequilaimait · 5 years ago
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PictureS[...] – 7. Photo N°7 – L’ange de la Sagrada Familia
Cléo ne manqua pas à sa promesse. Il avait juré qu’il inviterait Camille quelques jours en Espagne. Ce fut chose faite dès les vacances suivantes, celles de printemps, pour trois petites nuits. C’était tout ce que son budget pouvait lui permettre, mais c’était bien assez pour une première visite de Barcelone. Lui-même n’y avait jamais mis les pieds. S’il avait fait ce choix, c’était avant tout pour un désir assumé de tapas et surtout pour suivre les conseils de son colocataires barbus. Fan de la cité catalane, Fabien y était allé encore et encore. Il connaissait tous les lieux à voir, tous les bons petits restaurants ou s’arrêter et tous les musées où parfaire sa culture générale. Pour convaincre Cléo de choisir cet endroit, il lui avait même fait la promesse de lui servir d’audio guide par téléphone. Avec l’itinérance permettant enfin de profiter de ses forfaits illimités dans toute l’Europe, il fallait en profiter. Lui et Camille n’avaient qu’à partager une paire d’écouteurs et décrire les lieux qu’ils visitaient pour avoir un retour détaillé. Même si cela lui prendrait forcément un peu de temps, le grand passionné trouvait la chose parfaitement amusante.
Toute la préparation de cette petite aventure avait rendu fou Mikaël. Les vacances d’un préparationnaire scientifique devaient être dévolues à deux choses : se gaver de jus de pastèque et réviser afin de se donner le plus de chances de réussir les contrôles à venir et passer en classe étoilée. Que Cléo puisse conserver ses excellents résultats tout en s’accordant une coupure complète, ça lui sortait par les trous de nez. Et le rendait peut-être un peu jaloux. C’était fou comment les voyages avec sa maman lui avaient manqué cette année, lui qui était habitué à chaque vacance de découvrir un nouveau pan de la culture française ou mondiale. Du coup, il avait fait promettre à Cléo de lui ramener un mug bariolé à la Gaudi, avant de s’enfermer dans sa piaule afin d’affronter de nouvelles complexités physiques et mathématiques.
Pour Camille, les vacances arrivaient à point nommé ! Même s’il ne restait plus que quelques semaines à tenir avant le bac, sa vie de terminale lui était de moins en moins supportable. Le traitement s’était révélé plus difficile à suivre que ce qu’elle avait anticipé. Les premiers changements de son corps commençaient à se faire sentir, mais cela ne se faisait pas sans douleur musculaire, perte d’énergie et saute d’humeur. Et forcément, les beaux jours revenants et les vêtements se faisant plus léger, les autres lycéens ne pouvaient pas passer à côté. Très vite, la rumeur comme quoi Camille se bourrait d’hormones avait commencé à courir. Le simple fait qu’elle s’avale une poignée de cachets le midi à la cafet rendait la chose limpide. Forcément, les commentaires désagréables et désobligeants avaient fleuri, non seulement de la part d’élèves, mais aussi de professeurs aigris qui s’étaient laissé aller à quelques remarques particulièrement déplacées au moment de rendre quelques copies. Camille en avait pleuré à plusieurs reprises, en serrant les dents et se répétant encore et encore qu’elle avait fait le bon choix et que les autres n’étaient que des abrutis sans intérêt. Ce dont elle doutait, malheureusement, parfois.  Le mouvement s’était fait d’autant plus violent qu’Alec s’était même permis de faire circuler sous le manteau une pétition pour que l’administration sévice et empêche sa camarade de se droguer entre deux cours sans autorisation. Heureusement, bien que le mal fût fait, cette initiative emplie d’intolérance avait suffisamment fait scandale pour être jetée aux oubliettes, avec les autres revendications étudiantes, tel interdire les emplois du temps avec des heures de permanence, couvrir d’un toit mobile la cour intérieure pour les jours de pluie et virer le chef cuistot pour faute grave après avoir servi des brocolis bouillis mal cuits. Cette dernière idée datait de l’année précédente et avait été soutenue par un certain blondinet aigri, qui s’était retrouvé condamné à finir le plat pour lui apprendre à foutre le bordel quand les autres mangeaient.
Ce fut donc avec un certain soulagement que Camille vit poindre le doux mois d’avril et les deux semaines de congés qui y étaient associées. Même si elle ne pouvait passer que quelques jours avec Cléo, ils représentaient pour elle une pure bouffée d’air frais. Barcelone, en plus… Elle n’y était jamais allée et en rêvait depuis toute petite, ne serait-ce que pour pisser sur la façade du Camp Nou et ainsi montrer à sa fan de foot de sœur ce qu’elle pensait de ce sport stupide et de l’équipe légendaire qui habitait les lieux.
Pour le coup, en entendant ce projet d’enfance peut-être enfin bientôt réalisé, Cléo lui avait interdit de mettre son plan à exécution. Déjà parce qu’une fille qui pissait debout, ça faisait mauvais genre. Ensuite parce qu’il ne voulait pas être accusé d’être la cause d’un incident diplomatique entre la France et l’Espagne, pouvant mener à une guerre nucléaire ou pire, à une guerre des transferts. L’horreur sur terre.
L’arrivée en avion fut programmée un jeudi tôt le matin, le départ le dimanche suivant aux aurores. Les deux amoureux embarquèrent sur les coups de sept heures et se posèrent une heure vingt plus tard à l’aéroport El Prat de Barcelone, avant de rejoindre le centre-ville en bus. Casquette sur la tête et sac à dos sur les épaules, Cléo annonça la suite du programme : marcher et profiter au maximum de la journée avant de rejoindre leur petit hôtel le soir. Ce dernier ne pouvait les accueillir avant dix-sept heures, les vacanciers n’avaient d’autres choix que de porter leurs affaires. Heureusement, pour trois jours et nuits, ils avaient pu se contenter du minimum afin de ne pas se retrouver trop chargés. Minimum qui n’avait pas exactement la même définition pour l’un et pour l’autre.
« Je suis censée être une gonzesse ! Alors oui, j’ai pris deux paires de chaussures ! Ça te gêne ? »
Pour dire vrai, Cléo s’en foutait bien, tant que ce n’était pas là lui de porter l’énorme sac de randonnée de sa meuf. Ce qui fut sourire narquoisement Camille ! Le naïf, comme s’il pouvait espérer y échapper. Le mufle ! Il avait intérêt à l’aider.
Comme elle l’avait prévu, Cléo accepta en soupirant d’échanger leurs sacs afin de garder pour lui la charge la plus lourde. Ce que la lycéenne n’avait pas anticipé, cependant, ce fut que le budget soit tellement serré que son petit ami refusa net de gâcher ses deniers en taxi, préférant encore se briser le dos et la couvrir de cadeaux que de raquer pour ça. En plus, la ville était de taille modeste et tout le monde savait que la marche à pied ne pouvait faire que du bien à la jeunesse.
Là, Camille grimaça. Si son mini-short en jean, son débardeur blanc et son bob rose passaient plutôt bien et lui donnaient un véritable air féminin, les sandales à talons étaient très clairement un mauvais plan et lui brisèrent les chevilles. Cléo eut beau lui demander toute la journée en boucle pourquoi elle ne s’arrêtait pas pour changer de paire et mettre ses baskets – à quoi cela lui servait-il de souffrir vu qu’elle était déjà belle ? –, la réponse fut toujours la même :
« Déjà, elles sont au fond du sac ! Ensuite, elles en vont pas avec ma tenue ! Enfin, ta gueule, tu me fais chier ! »
De la place de Catalogne à la Sagrada Familia, il n’y avait que deux kilomètres et demi. La douceur d’avril permettait de ne pas avoir trop chaud. Les deux amants se hâtèrent afin d’arriver pille à l’heure indiquée sur leur billet et pénétrer dans l’édifice.
Petite cité médiévale au centre tortueux, Barcelone s’était développée à toute vitesse au moment de la révolution industrielle. Des routes parallèles et perpendiculaires y avait été construites, donnant l’illusion quand on regardait une carte d’avoir affaire à un gigantesque damier. Ce que la ville avait de plus beau à voir datait souvent de la fin du dix-neuvième et du début du vingtième siècles et portait la signature de l’architecte de génie Gaudi. Amoureux de couleurs et de formes, le principal représentant du modernisme catalan avait utilisé la ville comme terrain de jeu à toutes ses folies, construisant maisons, parcs et édifices. De la structure jusqu’au moindre détail de la décoration, il s’occupait de tout dans ses réalisations. D’abord honni par ses contemporains, il faisait aujourd’hui la fortune de la cité, en attirant masse de touristes dans la ville. Avec sept de ses œuvres inscrites au patrimoine mondial de l’Humanité de l’Unesco, il avait plus que prit sa revanche sur l’histoire.
Sur le chemin menant à sa plus grande prouesse, les deux adolescents s’arrêtèrent devant les façades de deux bâtisses classées : la casa Batllo à l’allure océanique avec ses murs ornés de couleurs et son toit faisant penser aux écailles d’un poisson arc-en-ciel, ainsi que la casa Mila, un ensemble d’appartements connu pour ses balcons et ses cheminées et tours de ventilation visibles depuis la rue. Les billets d’entrées étant résolument trop chers, Cléo se contenta de mitrailler les édifices de son appareil photo, tout en écoutant les explications et remarques de Fabien, insatiable au sujet de l’architecte, de l’autre côté du téléphone.
Mais l’effet ressenti devant ces deux maisons ne fut rien quand, enfin, le couple arriva devant la Sagrada Familia, ou temple expiatoire de la Sainte Famille, cette basilique à laquelle Gaudi avait consacré toute une partie de sa vie et qui, aujourd’hui encore, était toujours en chantier. Fin des travaux prévus pour 2027 avec enfin l’érection de la tour principale, le tout financé uniquement par les dons et les entrées pour la visite du temple, et ce depuis plus d’un siècle. L’extérieur seul valait bien le déplacement. Les autres tours déjà construites montaient haut dans le ciel et semblaient ne pas vouloir s’arrêter. La façade de la nativité, édifiée du vivant de Gaudi, ressemblait à un ensemble de dentelles où se mélangeaient de nombreuses sculptures à la pierre directement taillée en forme diverses, le tout dans un style des plus classiques et destructurés. À l’opposée, la façade de la passion était droite, moderne et stylisée, avec de longues lignes montantes et des représentations de figures religieuses aux traits angulaires. À chaque fois que les yeux des deux tourtereaux se posaient à un endroit, ils s’émerveillaient. Une façade lisse laissait sa place ici à une autre plus ondulée, là à une colonne dont la base représentait une tortue portant le monde. Il ne semblait y avoir aucune cohérence à l’édifice. Et pourtant, la Sagrada était un tout harmonieux et captivant.
Mais l’extérieur n’était rien comparé à l’intérieur. Les visiteurs passèrent d’un seul coup au gris sale de la pierre de taille à l’immaculée blancheur de la nef, dans laquelle une ambiance incroyable se faisait ressentir, du fait sans doute des jeux de lumières causés par la valse du soleil entre les vitraux. Affichant de nombreux dégradés allant du rouge au bleu en passant par le jaune, le vert, le violet et toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, ces derniers donnaient l’illusion d’être transporté dans un tout autre univers. Grandiose, incroyable et magique furent les mots qui revinrent le plus souvent dans la tête de Camille. Cléo, lui, était trop occupé à chercher les meilleurs cadrages pour faire ressortir en photo toute la magie des lieux. Sa plus belle fut sans doute celle qu’il réussit à prendre presque par miracle, alors qu’il s’était baissé pour refaire ses lacets. L’espace d’un instant, Camille s’était retrouvée seule à la croisée du transept, centre de l’église, juste entre les quatre piliers principaux, dédiés chacun à un évangéliste. Le nez pointé en l’air à la découverte d’un détail de la voute, son chapeau glissé dans la main, l’adolescente se tenait là, bouche entrouverte et visage paisible. Le moment fut celui que choisit le soleil pour s’échapper de derrière un nuage et frapper pile un vitrail bleuté et un autre orangé, dont les rayons déviés tombèrent directement sur Camille. À genoux, en contre plongée, observant cet ange en pleine lumière de trois quart dos, il n’avait plus resté à Cléo qu’à appuyer sur le bouton pour immortaliser la scène, capturant d’un seul coup une expression paisible, un sentiment hors du temps et l’architecture folle du chœur, de l’autel et du ciborium. Magique, tout simplement.
Entendant le clic répété de l’appareil, Camille tourna la tête vers l’objectif et secoua la tête de gauche à droite en contractant de manière amusée ses douces lèvres grenadines. Sérieusement ! Elle ne pouvait pas laisser son mec deux minutes derrière elle sans qu’il ne cherche à capturer son image.
Sortant de l’édifice, les amoureux prirent quelques instants pour se remettre de leurs émotions. Mais déjà, la suite de leurs aventures les attendait. Le parc Güell était situé à deux kilomètres et demi de là. En passant, les adolescents s’arrêtèrent dans un petit marché où ils purent acheter des fruits, du pain et un peu de charcuterie pour s’improviser un pique-nique et se reposer. Ce fût le moment choisi par Fabien pour les briefer. Le parc était sans aucun doute une des plus grandes réalisations de Gaudi, ou tout du moins, une des plus agréables à visiter. Jamais terminé, le projet d’origine consistait à créer une citée jardin dotée d’une chapelle et d’un ensemble de petites habitations – seule trois bâtiments avaient été terminés –, le tout autour d’une terrasse recouvrant un marché aux colonnes doriques. Ni Cléo ni Camille ne savaient vraiment ce que voulait dire le mot dorique, mais en gravissant les marches du magnifique escalier parsemé de fontaines qui y menaient, ils n’y pensèrent pas, trop éblouis une fois de plus par le génie de l’architecte, passé maître dans l’art de manier les formes, les courbes et les couleurs. L’air était doux. Des bancs permettaient de s’asseoir. Dans le parc, et ce malgré l’afflux incontrôlé de touristes, on ne pouvait que se sentir bien…
Forcément, Camille exigea de se faire photographier à côté de la salamandre multicolore faite de mosaïque, véritable symbole de la ville qu’on retrouvait en reproduction miniature dans presque toutes les boutiques de souvenirs.
Profitant d’un léger éclat de soleil pour se balader main dans la main dans le parc puis aux alentours, Camille et Cléo ne virent pas le temps passer. Déjà, il était temps pour eux de retrousser chemin vers la place de Catalogne, puis de se jeter dans le quartier gothique – ou Barri Gotic – à la recherche de leur petit hôtel, à cinq bons kilomètres de là. Le préparationnaire avait beau avoir mis toutes ses économies dans ce voyage, il n’avait guère pu faire mieux que de réserver un petit une étoile rue Carrer de la Boqueria. Exiguë, l’hôtel avait quand même pour lui d’être propre, d’afficher une décoration sympathique et surtout d’être particulièrement bien situé, à cinquante mètres à peine de la Rambla – principale voie touristique qui menait à la mer – et juste à côté d’une étrange ruelle sombre qui menait à une charmante petite place pleine de restaurants. À peine avaient-ils déposé leurs sacs sur leur minuscule lit double que les amoureux ressortirent de leur chambre pour profiter un peu de l’air marin et se chercher un petit bar à tapas où ils pourraient déguster les fameuses patatas bravas, choquitos et croquetas qui avaient fait la renommée de la gastronomie locale.
Enfin, après une crêpe nutella prise sur la Rambla en guise de dessert, les amants rentrèrent se doucher et se coucher. Propre et ses cheveux longs lui tombant derrière les épaules encore mouillés, Camille ragea à cause d’une méchante ampoule qui lui avait ruiné la journée et qui lui brulait le talon, puis fit mine de chouiner, ce afin d’attirer l’attention de son mec en train de comater à ses côtés. Kilomètre après kilomètre, ils avaient quand même bien marché, et devant porter le sac le plus lourd, Cléo était claqué. Mais même éreinté, il y avait des choses auxquelles il ne pouvait pas échapper, comme la vue plongeante sur le torse de sa petite amie, dont les formes commençaient à se faire légèrement visibles. Sa poitrine avait changé et s’était arrondie. Ses tétons s’étaient eux aussi légèrement développés. La transformation était douce, mais perceptible. Cléo laissa ses doigts s’y balader, là et ailleurs, sans que Camille ne réagisse autrement que par un léger sourire, signifiant simplement sa satisfaction de voir son homme s’amuser avec son corps. La douceur dura encore quelques secondes, avant que, n’en pouvant plus, le préparationnaire se jette sur ses lèvres, l’attrape par les hanches et ne la positionne sur le ventre en lui intimant de relever son bassin. Toute la journée, il avait été aux petits soins, se souciant à chaque instant d’elle comme d’une fragile poussière d’étoile, montrant ainsi à quel point il pouvait tenir à ses yeux bleus, ce qui avait fini par l’étonner lui-même. Il fallait bien qu’à un moment, il se rembourse à sa manière de ses efforts et de tous les frais engagés pour ce voyage ! Ce qu’il fit de manière particulièrement ferme et virile, causant quelques tressaillements de surprise dans la voix de sa partenaire qui ne manqua pas de lui faire remarquer ce qu’il pensait de sa manière de faire. Enfin, seulement lorsqu’elle réussit à reprendre son souffle, entre deux gémissements.
« T’es vraiment comme tous les mecs ! Une putain de bête sauvage en rut… Nan mais t’arrêtes pas, abruti ! Continue ! J’aime trop ça, moi ! Rha la vache ! »
Le lendemain fut placé sous les auspices de la culture. Au programme, de l’art, des musées et encore un peu de marche à pied. Camille ne réitéra pas l’erreur de la veille. Au diable la féminité, elle pouvait bien la laisser au placard pour la journée. La priorité était de profiter des vacances. Ce fut dont en mode « petit mec » qu’elle descendit prendre son petit déjeuner, sans ses piercings mais avec des baskets blanches, un bermuda beige en toile, un t-shirt ample coupe masculine, les cheveux attachés, une casquette bleue et un maquillage minimaliste au possible. Devant sa tasse de café, Cléo en écarquilla les yeux. Tout cela lui donnait une impression étrange. Quand sa copine lui demanda de s’exprimer au lieu de la dévisager avec des yeux de merlans mal frit, il haussa simplement les épaules et répondit le plus franchement possibles entre deux gorgées.
« Jusqu’à présent, dans ma tête, j’ai toujours considéré que le travestissement, c’est quand tu t’habillais en fille. Là, c’est la première fois que ça me fait le coup alors que tu te fous en mode garçon… »
D’abord surprise, Camille ne put masquer le ravissement qui lui éblouit le visage. Sa transition n’avait jamais voulu dire qu’elle abandonnait à jamais l’idée d’apparaître de temps en temps au masculin. C’eut été manqué de sens féministe que d’ainsi s’inscrire dans un clivage des sexes et des genres imposés par l’élite phallocratique. Les femmes devaient pouvoir se vêtir comme les hommes, c’était un droit, et quand ce n’était pas le cas, cela se transformait en combat. Alors pour Camille qui se définissait comme un troisième sexe principalement féminin mais pas dénué de toute masculinité, c’eut été un comble de s’y refuser par pur caprice. D’autant plus quand il fallait marcher des heures et qu’un entre deux vestimentaire lui semblait plus ridicule qu’autre chose Sa méthode était déjà toute trouvée. Ayant été forcé d’agir comme un garçon depuis son enfance, elle savait faire illusion, et ses nouvelles formes disparaissaient sans aucun problème sous de fines bandelettes qu’elle avait déjà pris l’habitude de placer sous ses vêtements au lycée.
La journée commença donc par le musée Picasso. Le plus dur fut d’en trouver l’entrée, bien mal indiquée sur la carte, malgré des panneaux partout dans la rue, immanquable pour ceux qui faisaient un peu attention.
Le lieu avait été conçu grâce à l’intervention de l’artiste lui-même, qui avait fait don de plusieurs séries et surtout de ses œuvres de jeunesse. Ce fut l’occasion pour les jeunes touristes d’apprécier la maitrise académique incroyable du maître alors adolescent. Ses toiles de l’époque n’avaient strictement rien à envier en précision et finesse avec celles des grands de son temps. Cela eut pour effet de leur faire apprécier différemment la suite de l’exposition. Les différentes périodes, bleu, rose ou cubique de Picasso s’inscrivaient dans une réflexion de l’art et de ses sujets.
Certes, comme Gabriel leur avait expliqué avant leur voyage, une série de piafs qui chient sur un balcon, le tout dessiné en trois coups de pinceaux sans se soucier des perspectives et des détails, ça allait plus vitre à peindre que la Joconde. Après, on ne pouvait pas en vouloir au vieux Pablo d’avoir réussi à gagner sa vie de son vivant ! Au moins lui avait le mérite d’être réellement un géni doué d’un talent sans limite.
Sous-entendu : il était libre à chacun de se faire sa propre opinion sur des prétendus artistes qui vendaient des biens communs une fortune simplement parce qu’ils y avaient apposé leur signature. Dans le lot des grands de ce monde pour lesquels tout le monde ne partageait pas le même enthousiasme, il y avait un autre nom fameux dans la cité catalane. Le peintre, sculpteur, céramique et graveur surréaliste Joan Miro, qui bénéficiait lui aussi de son musée non loin du stade olympique, en haut de la colline Montjuïc, que les deux vacanciers visitèrent l’après-midi, après avoir traversé une partie de la ville pour le trouver.
« En effet, c’est assez… surréaliste… », concéda Camille devant un dessin qui semblait tout droit sorti de l’imagination d’un enfant de trois ans légèrement dérangé.
« C’est pour ça que ça coûte cher… », soupira Cléo. « C’est justement parce que ce n’est pas fait par un enfant de trois ans dérangé, mais par un adulte dérangé, que les gens sont prêts à dépenser beaucoup d’argent. Paye ta nuance… »
La journée se termina par une longue balade sur la colline puis le long du port. Après être passés devant la statue de Christophe Colomb, les adolescents partirent à la recherche d’un café où se poser pour discuter de ce qu’ils avaient vu. Cherchant à amuser Camille en gesticulant dans tous les sens, Cléo se cassa la figure avec grâce, déclenchant ainsi le rire tant attendu. Une fois attablés, ils débriefèrent. Camille n’était résolument pas fan de Miro. Cléo comprenait. L’un et l’autre se demandèrent ce qu’en aurait pensé leurs proches.
« Cléa aurait adoré Miro ! », soupira le préparationnaire dans l’attente de sa limonade. « Moins ça a de sens, plus elle en trouve… Elle aurait pu y passer des heures à nous expliquer qu’on ne comprend rien ! »
« Et Gabriel aurait détesté… », conclut la lycéenne en faisant un signe poli de la tête au serveur qui venait d’apporter les boissons.
« Picasso, c’est plus son style, c’est sûr… » 
Si seulement ce moment avait pu durer toujours, ni l’un ni l’autre ne s’en serait plaint. Loin du quotidien, des devoirs et des personnes qu’ils ne voulaient pas voir, ils se sentaient bien. Ce break était une bouffée d’air frais salvatrice. Tout du moins, pour le temps qu’il pouvait bien durer.
Le lendemain sonna l’arrivée du dernier jour complet, avant le départ tôt le jour suivant. Outre une après-midi de balade libre, Cléo avait prévu une dernière petite surprise pour combler Camille : une sortie à l’aquarium local. Située en bord de mer, la ville de Barcelone avait investi dans un magnifique espace, riche de nombreuses espèces aquatiques. La lycéenne apprécia. Les animaux, elle adorait ça. Il y avait aussi un petit côté régressif à déambuler entre les bassins comme un enfant pour s’émerveiller devant une espèce étrange et difforme avant de passer à la suivante, gracieuse et colorée.
Deux zones se révélèrent plus intéressantes que la moyenne. Celles des requins, tout d’abord. Placés sur des tapis roulant, les visiteurs tournaient en rond autour d’un immense bassin rempli de nombreuses espèces, dont une tripotée de squales. Un panneau invitait en plusieurs langues les curieux à différencier mâles et femelles, avant qu’un autre, plus loin, ne donne la réponse. D’apparence semblables, messieurs et mesdames avaient néanmoins une petite dissemblance anatomique au niveau de la nageoire pelvienne, sous leur ventre. Seuls les mâles étaient dotés de deux ptérygopodes, qui faisaient office de pénis, particularisme unique chez les poissons. Leur nombre amusa particulièrement Cléo, qui murmura lourdement à l’oreille de Camille la blague que tout cela lui inspirait :
« C’est l’histoire d’un requin trans qui veut se faire une vaginoplastie. Là, t’as le docteur qui lui réponds : moi, je veux bien, mais je vous enlève une ou deux bites ? »
Tout d’abord effarée par cet humour d’une nullité abyssale, l’adolescente aux yeux bleu sombre craqua rapidement et ne put s’empêcher de pouffer en levant ses mains et yeux en l’air en disant que c’était complétement con, le tout devant un petit garçon Catalan, plus intrigué par cet étrange et bruyant couple français que par la poiscaille.
Deuxième zone à valoir le coup d’œil, celle des manchots. L’esprit décidément particulièrement grivois, Cléo admira avec soin les ébats passionnés et bruyants de deux oiseaux qui n’en pouvaient plus d’attendre leur repas, en ne manqua pas de les photographier sous toutes les coutures, jusqu’à ce que sa petite amie lui intime d’arrêter. En entendant que son comportement était absolument gênant et que tout le monde le regardait comme un pervers, le jeune homme se mordilla la lèvre inférieure et en ouvrant les yeux de manière très provocante, avant de s’exclamer en singeant un malheureux ne comprenant pas pourquoi il était grondé.
« Mais je SUIS un pervers ! Le plus de tous ! C’est même pour ça que tu m’adores ! Allez, viens ici que j’te fasse la même chose qu’au piaf ! Cam, steupl ! Un coup vite fait ! On dira aux gosses qui regardent que c’est la nature ! Comme les pingouins ! Enfin manchots, c’est pareil. »
Camille prétexta le petit passage réglementaire au petit coin pour s’échapper de l’étreinte oppressante du déluré, sans quoi elle aurait bien été capable de céder à la plaisanterie et de se mettre à chercher un coin sombre pour une gâterie express. Sans hésitation, elle se dirigea vers les toilettes dévolues au sexe fort. Autant en vertu de sa tenue du jour – semblable à celle de la veille – que de la foule qui se massait du côté des femmes. Avec la présence d’urinoirs, c’était plus pratique pour pisser. Et puis, comme le fit remarquer l’adolescente, il y avait moins de queue.
« Enfin, sans compter la mienne ! », sourit-elle malicieusement en finançant son affaire, avant de rejoindre son mec qui l’attendait à la boutique, une tortue en peluche rose violacée dans les bras.
« J’peux te l’offrir ? Dis, j’peux te l’offrir ? Ma p’tit tortue ! Ça te fera une copine ! Allez, steuplait, dis oui ! »
Étonnée, Camille replaça ses lunettes de soleil sur sa casquette, avant de se saisir de l’objet et de l’observer sur toutes les coutures. Elle hésitait.
« Mhhh. Nan. La couleur est trop moche ! Mais par contre, je veux bien que tu me prennes la bleue ! »
Forcément, un bleu sombre de la même couleur que ses yeux. Encore plus ravi d’offrir que Camille ne l’était de recevoir, Cléo afficha un large sourire et sortit un billet de son portefeuille. Cette fois-ci, c’était acté, il était ruiné. Il ne lui restait de l’argent que pour le repas du soir.
Avant cela, il fallait tout de même occuper l’après-midi. Décision fut prise de surtout se balader entre la rambla, le très agréable parc de la citadelle et le vieux gothique. Il restait une vieille cathédrale à visiter et un peu de lèche-vitrine à faire. Ce fut au tour de Camille de faire un cadeau à Cléo, en lui offrant un t-shirt un peu coloré floqué du nom de la ville qui changerait un peu de son attirance presque maladive pour le gris, le blanc et le noir. Là encore, il avait passé les trois jours tout vêtu de ses teintes fétiches. Encore heureux qu’elles s’accordaient si bien à ses cheveux et à ses yeux.
Pour la dernière soirée, Camille tint à se faire belle. De retour à l’hôtel, la lycéenne passa un long moment dans la salle de bain à se coiffer et à se maquiller, puis à farfouiller dans ses affaires à la recherche de la robe courte d’été en lin couleur crème orangée et brodée de motifs marrons, robe qu’elle était persuadée d’avoir prise avec elle avant le départ et qu’elle ne retrouvait plus. Mettant enfin la main dessus, elle l’enfila à même le corps, juste au-dessus de sa lingerie la plus fine qui venait remplacer le boxer qui l’avait serré pendant deux jours. Enfin, ce fut l’occasion de ressortir ses piercings et surtout ses sandales à talons, qu’elle n’avait certainement pas prises pour simplement décorer l’intérieur de la chambre. Elle était prête, Cléo lui indiqua d’un grognement animal qu’il la trouvait parfaite.
Les deux amoureux jetèrent leur dévolu sur un petit bar à tapas des plus conviviaux, où le service se faisait debout et où les convives se servaient en petites assiettes sur les plateaux qui passaient entre eux. Ce fut pour eux l’occasion de sympathiser et parler français avec quelques jeunes touristes qui avaient eu la même idée. L’ambiance était légère et agréable. Les petits verres de vin s’accordaient à merveille à la charcuterie. La chaleur augmentant, quelques lourds dragueurs firent leur apparition. Alors que Cléo s’était reculé d’un pas pour discuter avec des parisiens qui n’avait pas encore visité la sagrada familia, Camille se retrouva prise à partie par un lourdaud presque trentenaire mal rasé. Le pauvre bougre semblait à la fois célibataire et en chien. Toutes les mignonettes esseulées qui passaient étaient des proies idéales. Celle-là qu’il avait repérée en passant lui semblait tout à son goût. Jeune, innocente, mignonne et sans doute un peu crétine. Les nuits barcelonaises étant ce qu’elles étaient, il ne faisait pas grand doute qu’elle s’était aventurée à l’extérieur avec la ferme idée de se réchauffer le nombril par l’intérieur. Elles étaient si nombreuses à ne rêver que de ça ! Celle-là aussi, pensa-t-il d’un air ravi en voyant qu’elle frissonnait quand on cherchait à lui caresser la cuisse…
Comprenant rapidement à quel genre d’individu elle avait à faire, Camille hésita entre l’envoyer bouler à coup de pieds dans les roubignoles ou à s’amuser un peu. Le signe de la tête sournois de Cléo posé à trois mètres d’elles lui indiqua qu’elle pouvait se faire plaisir, il n’en manquerait pas une miette. L’inconnu pouvait essayer de la chauffer.
Il ne fallut pas plus de cinq minutes au malotru pour passer des attouchements déplacés à des propositions qui ne l’étaient pas moins. Il créchait dans une chambre d’hôtel par loin. L’occasion parfaite de passer un bon petit moment. Ce fut l’instant précis où le regard de Camille se fit le plus éclatant. Grand sourire, elle s’approcha du cou de son prétendant et commença à l’enlacer et même à l’embrasser, devant un Cléo qui devait se mordre la langue pour ne pas réagir trop bruyamment. Puis, attrapant la main baladeuse et l’orientant à l’intérieure même de sa culotte, elle murmura à l’oreille du mufle d’une voix inhabituellement langoureuse.
« Ok pour coucher avec toi, mais c’est moi qui t’encule ! »
Livide comme jamais, alors que Camille mimait une envie insatiable en mordillant sa lèvre recouverte de rouge éclatant à quelques centimètres de son visage, le dragueur s’enfuit sans demander son reste. Fougueuse, l’adolescente en rajouta une dernière couche en lui hurlant dessus au loin :
« Mais pars pas ! Mon mec aussi avait envie de te prendre ! Allez, quoi ! »
Morts de rire, Cléo et Camille durent payer et sortir du bar pour sa calmer. Là, ils l’admettaient, ils avaient été particulièrement salauds, mais Dieu que cela avait été drôle.
« En même temps, il l’a bien mérité… Nan mais t’as vu comment il me draguait ? Quel connard ! Ces mecs, ça n’a peur de rien ! Enfin, sauf des trans, faut croire… Putain, j’espère que ça va le calmer pour un moment ! »
« Nan mais déconne pas, Cam. Okay, c’était bien joué, tu m’as tué, surtout quand tu l’as forcé à te toucher le paquet ! Là, il s’est décomposé, j’étais plié en deux. Mais imagine qu’il t’ait répondu oui ? T’aurais pas eu l’air conne ! Enfin, ça m’aurait fait encore plus rire ! »
Après plusieurs minutes à essayer de retrouver leurs esprits sans pouvoir s’empêcher d’éclater de rire à chaque regard échangé, les amoureux reprirent la direction de leur hôtel pour passer une dernière nuit avant le retour à la maison. Au détour d’une ruelle, ils passèrent devant une petite église, sur le porche de laquelle une chorale adule avait pris place pour entonner quelques chants en langue castillane. Curieux, ils s’arrêtèrent pour écouter ces quelques notes qu’ils ne comprenaient pas. Le concert improvisé s’arrêta quelques minutes plus tard. La petite place se vida. Main dans la main, les tourtereaux s’échangèrent un sourire, qui se transforma très vite en baiser fougueux contre le mur de l’église. Peut-être était-ce le petit verre de vin, ou tout simplement le sentiment bien trop rare d’être enfin un peu heureuse, mais Camille n’avait pas résisté à l’envie de plaquer son homme contre un mur, de l’agripper par les poignets et de l’embrasser fougueusement comme si rien d’autre n’avait d’importance, et ce devant l’indifférence générale des passants à la recherche d’un endroit ou se sustenter.
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Extrait de l’album photo de Cléo
Emplacement n°7
Nom de la photo : « L’ange de la Sagrada Familia »
Effet : couleur – Lumière naturelle
Lieu : à l’intérieur de la Sagrada Familia
Date : premier jour de nos vacances de printemps à Barcelone
Composition : Camille en contre plongée, seul au milieu de la basilique, son chapeau à la main, mon sac sur le dos, regardant en l’air, émerveillé par quelques détails. C’est le moment qu’a choisi le soleil pour l’éclairer à travers les vitraux, créant ainsi un jeu de lumière magique. À l’instant, il m’a semblé comme un ange. Féminin comme jamais, avançant vers le chemin qu’il s’était choisi, béni par le seigneur lui-même dans sa démarche. C’est amusant que je dise ça. Je ne suis pas du tout croyant. Je n’ai jamais cru, ou plutôt, ai arrêté de croire bien assez jeune en toute justice divine. Elle n’existe pas. Les hommes sont des animaux sans maître ni créateur, dirigés par leurs pulsions comme n’importe quelle autre espèce. De fait, je ne me suis jamais senti bien dans les édifices religieux, lieux de mensonges et de duperies. Mais là, c’était différent. En voyant Camille à cet instant-là, je n’ai pas commencé à croire en Dieu, mais j’ai plus que jamais eu envie de croire en « elle ».
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